Reformulons notre discours social pour basculer
dans le paradigme de la hauteur-d’enfant, d’un enfant
objet d’éducation à un enfant
sujet de droits
!
Reformulons notre discours social
pour basculer dans le paradigme
de la hauteur-d’enfant, d’un enfant objet d’éducation à un enfant
sujet de droits
!
Bienvenue sur mon site internet, et dans mon univers !
Je suis Marion Cuerq, française partie vivre en Suède à l’âge de 19 ans, afin de découvrir le premier pays du monde à avoir aboli les punitions corporelles, en 1979. Plus qu’une interdiction de taper les enfants, j’y ai découvert une tout autre définition de l’enfance que j’ai dûment décryptée ces 14 années passées.
J’ai appris le suédois, étudié à l’université de Stockholm, puis obtenu deux Masters. L’un en droits de l’enfant, m’ouvrant encore d’avantage la compréhension d’un paradigme sociétal centré sur l’enfant, l’autre en enfance et culture, une branche des sciences de l’enfance et de la jeunesse (les childhood studies) qui s’intéresse entre autre à l’impact de la culture comme des représentations dans notre perception des enfants.
Depuis ma position singulière, au croisement des cultures française et suédoise doublée de ce combo de diplômes en poche, je vous propose d’interroger notre inconscient collectif pour repenser la vision de l’enfant, et donc sa place dans la société, celle d’un enfant aujourd’hui communément perçu en France comme un porteur de problèmes. Mais plonger dans l’inconscient collectif français pour en décortiquer les représentations ne saurait suffire, et c’est pour cela que je vous propose aussi de découvrir tout un inconscient collectif suédois qui révèle une vision de l’enfant bien différente de ce qu’on connaît, celle d’un enfant porteur de droits.
La culture a un impact redoutable sur notre compréhension de l’enfance, de l’éducation et de notre rôle d’adulte. Mais nous ne sommes jamais un simple réceptacle de celle-ci, passifs, au contraire, c’est une relation de consommation autant que de production, et en ce sens, nous avons aussi le pouvoir de résister, ce que je vous propose de faire, en découvrant le bouclier culturel suédois de la hauteur-d’enfant, pour tracer ensemble de nouveaux contours à nos images de l’enfance, et en définitive, redessiner nos relations aux plus petits.
Je suis Marion Cuerq, française partie vivre en Suède à l’âge de 19 ans, afin de découvrir le premier pays du monde à avoir aboli les punitions corporelles, en 1979. Plus qu’une interdiction de taper les enfants, j’y ai découvert une tout autre définition de l’enfance que j’ai dûment décryptée ces 14 années passées.
J’ai appris le suédois, étudié à l’université de Stockholm, puis obtenu deux Masters. L’un en droits de l’enfant, m’ouvrant encore d’avantage la compréhension d’un paradigme sociétal centré sur l’enfant, l’autre en enfance et culture, une branche des sciences de l’enfance et de la jeunesse (les childhood studies) qui s’intéresse entre autre à l’impact de la culture comme des représentations dans notre perception des enfants.
Depuis ma position singulière, au croisement des cultures française et suédoise doublée de ce combo de diplômes en poche, je vous propose d’interroger notre inconscient collectif pour repenser la vision de l’enfant, et donc sa place dans la société, celle d’un enfant aujourd’hui communément perçu en France comme un porteur de problèmes. Mais plonger dans l’inconscient collectif français pour en décortiquer les représentations ne saurait suffire, et c’est pour cela que je vous propose aussi de découvrir tout un inconscient collectif suédois qui révèle une vision de l’enfant bien différente de ce qu’on connaît, celle d’un enfant porteur de droits.
La culture a un impact redoutable sur notre compréhension de l’enfance, de l’éducation et de notre rôle d’adulte. Mais nous ne sommes jamais un simple réceptacle de celle-ci, passifs, au contraire, c’est une relation de consommation autant que de production, et en ce sens, nous avons aussi le pouvoir de résister, ce que je vous propose de faire, en découvrant le bouclier culturel suédois de la hauteur-d’enfant, pour tracer ensemble de nouveaux contours à nos images de l’enfance, et en définitive, redessiner nos relations aux plus petits.